Arrivée de Guy de Dampierre
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Arrivée de Guy de Dampierre
Alors que Charbogne allait entrer à leur vue, Guy ordonna que l'on monte ses couleurs sur des hampes afin d'être reconnu à l'approche du castel.
Ainsi précédé de ses trois étendards, le triple seigneur armagnacais et sa petite suite (genre, deux valets de pieds, trois valets d'armes, son valet de chambre et son barbier, le tout emportant une charrette contenant équipement de joute, tentes et mobilier de camp) poursuivit sa route vers l'endroit où une bonne partie de la noblesse de France et de l'Empire était conviée;
Pour ne pas changer, il avait pris deux chevaux. Sa vieille jument Isabelle qu'il montait pour voyager, et l'impétueux frison Archimède destiné au seuls usages du combat et de la joute. Certes ménagé, il n'était pas pour autant délaissé. Chaque matinée en cours de route, il avait droit à sa séance d'entraînement, à la grande jalousie de sa compère qui semblait devoir bouder son cavalier... jusqu'à la première caresse et la première carotte qui suivaient.
Les étendards du même type que le sien se multipliaient sur la route, alors que les participants aux joutes convergeaient vers le Charbogne.
Comme tant d'autre, il n'eut pas besoin de se faire annoncer pour pénétrer dans le hameau qui charriait son impressionnant lot de chalands, de marchands et de spectateurs, nobles ou manants, qui se pressaient pour assister aux festivités à venir.
Sans mal, il trouva le lieu destiné à l'installation du camp, juste à proximité des lices.
Pendant que ses gens installeraient les trois pavillons utiles à leur confort, il irait présenter ses hommages à la maîtresse des lieux, comme il convenait.
Ainsi précédé de ses trois étendards, le triple seigneur armagnacais et sa petite suite (genre, deux valets de pieds, trois valets d'armes, son valet de chambre et son barbier, le tout emportant une charrette contenant équipement de joute, tentes et mobilier de camp) poursuivit sa route vers l'endroit où une bonne partie de la noblesse de France et de l'Empire était conviée;
Pour ne pas changer, il avait pris deux chevaux. Sa vieille jument Isabelle qu'il montait pour voyager, et l'impétueux frison Archimède destiné au seuls usages du combat et de la joute. Certes ménagé, il n'était pas pour autant délaissé. Chaque matinée en cours de route, il avait droit à sa séance d'entraînement, à la grande jalousie de sa compère qui semblait devoir bouder son cavalier... jusqu'à la première caresse et la première carotte qui suivaient.
Les étendards du même type que le sien se multipliaient sur la route, alors que les participants aux joutes convergeaient vers le Charbogne.
Comme tant d'autre, il n'eut pas besoin de se faire annoncer pour pénétrer dans le hameau qui charriait son impressionnant lot de chalands, de marchands et de spectateurs, nobles ou manants, qui se pressaient pour assister aux festivités à venir.
Sans mal, il trouva le lieu destiné à l'installation du camp, juste à proximité des lices.
Pendant que ses gens installeraient les trois pavillons utiles à leur confort, il irait présenter ses hommages à la maîtresse des lieux, comme il convenait.
guy de dampierre- Messages : 2
Date d'inscription : 29/09/2014
Re: Arrivée de Guy de Dampierre
Perchée sur sa monture, non loin de là, la Sicilienne regardait d'un oeil bien veillant les arrivants.
Vieille habitude de Prévôt sûrement que supervisé les mouvements de foules.
Les couleurs qui se présentaient à elle ,ne lui étaient pas familière. Et c'est en italien qu'elle se maudissait de ne pas avoir appris ses classiques plus tôt.
Et ptet même l'idée de faire une compilation des armoires et blason des famille d'ici et de là bas.
Sourires aux lèvres en pensant à cette idée, l'insulaire fît braquer sa monture accompagnant de loin les arrivants.
Lorgnant parfois sur les magnifiques montures des ses invités. Elle se note toutefois d'aller saluer tout le monde plus tard, leur laissant le temps de s'installer et de se repérer.
Vieille habitude de Prévôt sûrement que supervisé les mouvements de foules.
Les couleurs qui se présentaient à elle ,ne lui étaient pas familière. Et c'est en italien qu'elle se maudissait de ne pas avoir appris ses classiques plus tôt.
Et ptet même l'idée de faire une compilation des armoires et blason des famille d'ici et de là bas.
Sourires aux lèvres en pensant à cette idée, l'insulaire fît braquer sa monture accompagnant de loin les arrivants.
Lorgnant parfois sur les magnifiques montures des ses invités. Elle se note toutefois d'aller saluer tout le monde plus tard, leur laissant le temps de s'installer et de se repérer.
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